Solognote d’origine, Sarah est très vite tombée amoureuse du territoire Béziers Méditerranée. Elle découvre les traditions, le caractère biterrois et toutes les petites histoires qu’elle aime tant raconter lors de ses visites. En français, en anglais ou en espagnol, elle s’attache à faire vivre tout le patrimoine de Béziers.
D’où viens-tu et comment es-tu arrivée à Béziers Méditerranée ?
Je viens du Loir-et-Cher. J’ai grandi à Romorantin entre les châteaux de la Loire, les forêts et la tarte tatin, mais j’ai toujours été attirée par le sud, la Méditerranée et sa culture.
Pour terminer mes études je finis mon parcours à Narbonne mais je m’installe à Béziers. C’est par le biais de ma licence professionnelle que j’ai rencontré l’Office de Tourisme Béziers Méditerranée avec lequel j’ai fait mon stage et mes premiers pas de guide. Depuis je ne me lasse pas de guiderà Béziers !
Qu’est-ce qui te motive dans ce métier ?
La pluralité des liens, du partage, des émotions. On ne revit jamais deux fois la même visite et on transmet d’autant de manière qu’on peut apprendre ou recevoir.
Mais il n’y a pas que ça, je suis une passionnée des petites histoires. Le métier de guide c’est des heures et des heures de recherches et de conception de visite. Plus on en apprend, plus on recherche et plus on veut en dire, mais ce n’est pas toujours possible.
Un lieu préféré, ou une période de prédilection ?
Pas un lieu, ni une période, mais plutôt un personnage ou une légende : Pépézuc. Je ne saurai dire pourquoi mais j’aime beaucoup raconter sa légende et les histoires qui l’entourent. C’est LE héros de tous les biterrois !
Une anecdote de visite à partager ?
Parmi toutes les anecdotes, il y en a une qui est devenue tradition… Lors de ma première visite dans les arènes de Béziers, j’accueille un groupe de jeunes. Arrivés au centre de la piste, avec une jeune fille du groupe nous nous sommes mises à chanter “We Are The Champions” de Queen devant ceux qui s’étaient placés dans les gradins. Ce fut un moment unique à la fois pour moi, mais aussi pour eux qui s’y sont essayés ensuite.
Complète cette phrase :
on ne peut pas repartir de Béziers Méditerranée sans avoir vu…
La splendeur du Plateau des Poètes ! On retourne à l’âge d’or de Béziers, on respire et on observe l’art. Un petit conseil : il faut arriver de la gare, prendre l’entrée magistrale avec le monument aux morts et remonter au fur et à mesure pour se rendre compte de la richesse de ce jardin.