Pascal François détient le record du monde d’installation en Lego. Et entend le battre à nouveau. En famille.
Le Palais de la Maquette, face au port de Valras-Plage, porte bien son nom : c’est un lieu de rêve pour les fondus de « Lego », les accros des petites briques, les monomaniaques du jeu de construction. Dont Pascal François, le propriétaire, est une victime parfaitement consentante, depuis au moins trois décennies. Au point de détenir, depuis plus de 20 ans, le record du monde de la plus importante construction en Lego (en nombre de pièces), d’être inscrit au Guinness Book des Records.
Mariage et Eglise – Palais de la maquette -Valras-PlagePalais de la maquette à ValrasPalais de la maquette -Valras-Plage
Il cherche sans cesse à s’améliorer, en 2017, il nous déclarait : « J’ai envie de présenter au public, dès les vacances de février, un village encore plus imposant, embelli, plus sophistiqué » explique-t-il. « Je vais agrandir plusieurs édifices, comme la caserne de pompiers, l’aéroport, etc. Et puis l’église aussi« . Il faut écouter cet homme passionné et modeste, raconter l’évolution de son travail, de ses inspirations pour créer des décors (qui vont du village de bord de mer à « Star Wars », en passant par « Harry Potter » et « Pirates des Caraïbes »). Il faut l’entendre rendre hommage à son épouse, Sylvie, à sa fille, Anaïs, qui l’accompagnent dans l’aventure.
Palais de la maquette – maquettesLa banque – Palais de la maquette -Valras-PlagePalais de la maquette – maquettes
C’est qu’avant d’agrandir son village Lego, dont les plus de 150 000 pièces occupent tout de même une superficie de 15 m2, il faut tout démonter, enlever, nettoyer, remonter…et agrandir. Travail de fourmi s’il en est, nécessitant autant de patience que de passion. Alors chacun s’active, à pas et gestes feutrés (pour ne rien défaire malencontreusement) dans cet espace réduit. Et promis tout sera prêt, « briqué », pour vous accueillir.
Comme un chat, elle a eu plusieurs vies ici et là, vécu des histoires et des moments d'histoire. Mais toujours, dans les regards, les sourires, les mots comme dans les livres, les archives des pays, territoires et villes qu'elle a parcourus, elle a tenté de saisir la "substantifique moelle" (chère à Rabelais) des lieux et des gens. Et elle aime les raconter, ces grandes et petites histoires...